Le rythme lent et apaisant du parcours renforce cette impression d’un monde parallèle, loin de l’agitation quotidienne de nos modes de vie torrentueux. Je ne saurais vraiment dire où nous sommes, et ceci n’a d’ailleurs aucune importance. Seule reste l’ébauche d’un paysage entre ciel et mer, où parfois, des langues de terre obscurcissent l’horizon. Je suis au bout du monde…